jeudi 4 mai 2023

Ondées de printemps, poésie…

Albert Einstein, 1951.

Chacun sa langue !



La poésie artificielle


La poésie est un art difficile

J’ai beau y faire, une autre est plus subtile

Elle en reprend, j’ai l’air d’un demeuré 

La poésie est un art de taré


La poésie est un monde en sabots

Près des vaches, des sols, pas des robots

On est resté des humbles cultivés

Réveille-toi, nous sommes arrivés


La poésie est une artificielle

C’est chacun pour sa peau, la tienne est belle

Attendez-vous à perdre en société 

Brutal, factice, armé, l’art est dicté




Êtres privés de lumières

Cela commence par la honte

et la méchanceté des mères,

des pères, des enfants, il monte

un océan d’obscurité 

pour cacher la vulgarité

Êtres privés de la parole

privés d’enfance et de l’école




Discourtois


Ton discours, toi, c’est nul

C’est mon discours qu’a eu l’

assentiment des pairs

Le meilleur c’est mon père !

Être reçu, c’est long

Fais plus court, toi, sinon

ce serait différent 

du normal que je vends




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